Les Crapauds Fous
  • Paris, 75010
  • Du 27/01/2023 au 21/01/2024
  • 17h00, 19h00 et 21h00
    Durée : 1h35
  • Tout public
1 avis
Ce spectacle n'est plus à l'affiche actuellement
BOUM la collerette, BIM les rebondissements, et BAM (😉) on est déjà à la fin et on n'a rien vu venir !

Découvrir le spectacle

L'histoire vraie et extraordinaire de médecins polonais qui durant la Seconde Guerre mondiale sauvèrent des milliers de vies... En organisant une vaste supercherie.1990, New York. Une jeune étudiante en psychologie rend visite à Stanislaw, médecin à la retraite, pour en savoir plus sur son grand-père, Eugène, et sur ses actions pendant la Seconde Guerre mondiale. 1940, Rozwadów, Pologne. Deux jeunes médecins, Eugène et Stanislaw, mettent au point un ingénieux stratagème pour berner les nazis et empêcher les déportations de tous les habitants menacés... Mais leur ruse ne tarde pas à éveiller les soupçons dans les rangs du IIIème Reich et les deux amis doivent rivaliser d'inventivité pour que le château de cartes qu'ils ont érigé ne s'écroule pas sur eux. Dans cette histoire, qui oscille entre deux époques, se croisent une vingtaine de personnages pris dans les rouages fragiles d'une machination vertigineuse.

Le mot de BAM

C'est un spectacle à mille à l'heure qui va au moins aussi vite que la musique. C'est une équipe d'une générosité folle, qui prend au moins autant de plaisir sur scène qu'on a à les regarder. C'est une histoire rocambolesque, inattendue et à la limite de l'incroyable, qui vous choppe tout de suite, genre BOUM la collerette, BIM les rebondissements, et BAM (😎) on est déjà à la fin et on n'a rien vu venir ! Et BLABLABLA les voilà déjà qui vous demandent d'y retourner !

𝑉𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝐴𝑑𝑒̀𝑙𝑒 & 𝑆𝑢𝑧𝑎𝑛𝑛𝑒

Les avis sur le spectacle

les Spectateurs BAM en parlent

1 avis
Superbe!

Une histoire digne d’un film avec des acteurs excellents et une mise en scène originale. À faire !

Damien W.
Il y a 4 mois
représentation du 21/12/2023

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Théâtre du Splendid
Construit en 1896, il fut inauguré le 17 Octobre de la même année, sous le titre de Fantaisies Saint-Martin. C’était un théâtre de quartier, adroitement dirigé par le baryton Edmond Favart, ex de l’Opéra Comique. Les spectacles, alors, se composaient de deux parties. La première consacrée à la chanson et la seconde vouée à la représentation d’une piécette en un ou deux actes. Mais les destinées de la salle allaient évoluer considérablement avec l’arrivée dans les lieux, en juin 1907 des frères Comte (Georges et Léon) anciens administrateurs du Casino de Montmartre, un bruyant Caf-Conc du boulevard de Clichy. Sur le modèle des beuglants à succès de Montparnasse et de Montmartre, le lieu est un temps à la mode, le Casino était désormais classé comme un Café-Concert de qualité. Mais même si Mistinguett s’y produisit à ses débuts, l’événement majeur de l’histoire du Casino Saint-Martin c’est bien sur le passage du grand Maurice Chevalier, programmé en mai 1908. Il n’avait que dix-neuf ans et chantait le genre comique. Un tout mêlé de chants et de danses. Jusqu’à l’éclatement de la guerre (3 Août 1914) et même au delà, la réputation du Casino Saint-Martin ne cessa de s’affirmer. Après la guerre, la vogue du Caf-Conc commença à décliner au fur et à mesure que s’implantait ce nouveau monstre de curiosité : le cinématographe. Les petits établissements décentralisés s’étaient un à un laissés absorber par le cinéma. Rares étaient ceux qui résistaient encore. Sur les cent cinquante salles de Caf-Conc recensées à Paris au début du siècle, subsistaient : Bobino, l’Européen, Chansonnia, Gaîté-Montparnasse, Petit-Casino, et… le Casino Saint-Martin devenu Caf-Conc occasionnel. Pour le Casino Saint-Martin, le sort en était jeté. Il rouvrit, bien sur son plateau masqué par un écran, ce qui fit de lui le cinéma « Saint-Martin 48 ». Les artistes y revinrent, mélancoliques, présenter des attractions. En 1952, le Casino Saint-Martin (il avait retrouvé son titre) n’était plus qu’un cinéma. Plus tard la salle ne consacrera plus ses projections qu’aux films interdits aux mineurs. En 1981, grâce à une simple petite annonce parue dans le journal, c’est donc la salle d’un ex-cinéma porno que la bande du Splendid découvre. Le Casino Saint-Martin deviendra le 8 octobre 1981 : « Le Splendid Saint-Martin ».

48 Rue du Faubourg Saint-Martin
75010 Paris