PATRICK COUTIN - Paris

Point Ephémère

  • Paris, 75010
  • Le 14/10/2025
  • À partir de 17,82 €
PATRICK COUTINEn 1981 un ovni débarque dans le petit monde de la musique francophone. Alors que la mode est aux synthétiseurs, aux jolies...

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PATRICK COUTIN

En 1981 un ovni débarque dans le petit monde de la musique francophone. Alors que la mode est aux synthétiseurs, aux jolies voix et aux arrangements millimétrés, Coutin se pointe avec un album de rock minimaliste, tout droit, sortie des années 70, imprégné des influences du rock anglais et du rock Californien période « Flower Power », mais qui porte aussi la rage, parfois l’asociabilité, en tout cas la provocation, l’humour et le tempo speedé du mouvement Punk.

« J’aime regarder les filles » un hymne aux amours juvéniles deviendra un tube bien sûr, mais il y aura plus : il s’installe au sommet des hit-parade de la dance musique, préfigurant à sa façon l’arrivée des rythmiques et des ambiances hypnotiques de la techno.

Aujourd’hui certains parlent de chef d’œuvre…

14 albums plus tard, sa musique est restée fidèle à ses premières influences, et l’artiste a gardé intacte sa volonté d’indépendance, parfois même de marginalité, ainsi qu’une énergie et une ligne créatrice rare et unique.

Son dernier album, « l’homme invisible », enregistré à Austin avec la fine fleur des musiciens du coin en porte témoignage : des chansons ciselées, toujours énergiques, qui parfois penchent vers la balade, le blues ou la country, mais qui restent profondément ancrées dans un son, un groove, une énergie et une attitude rock.

Aujourd’hui, impertinent et provoquant comme à ses plus belles heures, Coutin sort “Sur le bas-côté” un titre inédit en avant-première d’un album enregistré en trio et dans les conditions du live, avec Émilie Rambaud (batterie, chœurs) et Gilles Michel (basse, chœurs), une chanson d’amour déjantée, d’humour noir et décapant, iconoclaste, ironique, énergique, et sans doute un peu faussement naïve, sur guitares saturées et sur- vitaminées ; et aussi, au passage un hommage vibrant au « Chrysler rose » de Dashiell Hedayat, un ami d’adolescence.

Le clip, filmé par le photographe Christophe Lebedinsky sort au même moment. Rejoignez les dizaines de milliers de de personnes qui ont fait de cet artiste un incontournable du rock Made in France

Photo : ©Christian Arnaud

Présenté par POINT EPHEMERE.

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