Chevaliers, Princesse et Dragon
  • Paris, 75008
  • Du 21/10/2023 au 08/05/2024
  • 14h00 et 16h00
    Durée : 1h20
  • À partir de 3 ans
  • À partir de 13,90 €
Comédie chevaleresque déjantée pleine d'aventures, de chansons et de rires entre Spamelot, Kamelot et les Robins des bois.

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Oyez ! Oyez ! Damoiselles Damoiseaux ! Venez assister pour la première fois sur scène à un grand tournoi de chevalerie, et c'est vous qui élirez le chevalier vainqueur ! Le Sir Baudoin de Pince-Maille organise un grand tournoi de chevalerie pour donner la main de sa fille Blanche. Des concours d'adresse, à l'arbalète ou au tir à l'arc, des combats d'épée, des joutes à cheval et bien d'autres épreuves permettront de départager les chevaliers. L'amour triomphera-t-il dans cette comédie chevaleresque déjantée pleine d'aventures, de chansons et de rires entre Spamelot, Kamelot et les Robins des bois ?

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À partir de 13,90 €

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Les avis sur le spectacle

La presse en parle

BFM TV

Un spectacle pour enfants dans lesquels les parents ne s'ennuient pas. Une bonne dose d'humour et de décalage !

LE PARISIEN

Un régal médiéval, c'est hautement facétieux et terriblement drôle.

L'Humanité

Une parodie hilarante !

Théâtre des Mathurins

Théâtre des Mathurins
Théâtre des Mathurins
Théâtre des Mathurins
Théâtre des Mathurins
Dès 1893, il existait à cet emplacement un grand salon, susceptible d’être loué, ouvert au public et pouvant accueillir au grand maximum 300 personnes. Il n’y avait à l’époque ni de scène, ni même d’estrade ou de loges d’artistes. On y organisait plutôt des concerts. La salle est modifiée une première fois en 1897 par l’architecte Salvan puis en 1898 par Rochet pour devenir la salle des Mathurins inaugurée le 10 octobre de la même année sous la direction de la divette Marguerite Deval. En 1910, la salle prend le nom de Théâtre de Monsieur, puis des Mathurins Nouveaux jusqu’en 1912, date à laquelle on la baptise Théâtre des Mathurins. Celui-ci est fermé puis réouvert en 1919 à la demande de Sacha Guitry, qui enjolive le théâtre. Sous le parterre il fait aménager un bar pouvant servir de galerie d'expositions et baptise le théâtre «Théâtre de Sacha Guitry». En 1922, on décide d'agrandir et de changer radicalement la décoration. Le projet est confié à Charles Siclis, jeune architecte en vogue. Si l'intérieur a évolué au fil du temps en perdant de sa cohérence, la façade du théâtre possède toujours un intérêt non négligeable. Il a fallu beaucoup de courage et de talent pour réaliser ce manifeste délirant de modernité, qui, incongrûment s'impose aux niveaux inférieurs d'un immeuble de rapport, représentatif du confort bourgeois. Siclis n'a pas hésité à jouer sur le contraste entre ancien et moderne et les a mariés dans une composition qui prend valeur de symbole. Le théâtre avec sa propre logique plastique s'oppose et dénonce les bow-windows des étages supérieurs. Aucune autre réalisation de Siclis n'a pu nous parvenir comme celle-ci, presque intacte, alors qu'il fut certainement le plus inventif des architectes d'entre les deux guerres. Il est perçu par ses contemporains comme un esprit indépendant. Tandis que le critique Jean Locquin voit en lui «un constructeur poète», Robert Mallet Stevens écrit de lui en 1937 : «la fantaisie, qui est une des qualités évidentes de Charles Siclis a été mille fois plagiée, mais rarement égalée...» Dès le début des années 20, Charles Siclis est associé au développement de la Côte basque où il installe une agence. Il dessine de nombreux projets (intérieurs, boutiques, villas...) dans un style qui intègre les traditions classiques et néo-basques au modernisme. Après la reconstruction du Théâtre des Mathurins, il devient célèbre grâce aux théâtres, cinémas et restaurants qu'il construit à Paris. On lui doit notamment les Théâtres Saint-Georges et Pigalle.

36 Rue des Mathurins
75008 Paris