OÙ ES-TU ?
  • Paris, 75018
  • Le 07/01/2023
  • 20h00
    Durée : 1h10
  • Tout public
Ce spectacle n'est plus à l'affiche actuellement
Où es-tu ? est un dialogue entre 2 femmes, 2 amies, loin l’une de l’autre, qui conversent, et mêlent leur voix, entre poésies et chansons.

Découvrir le spectacle

Où es-tu ? est un dialogue entre 2 femmes, 2 amies, loin l’une de l’autre, qui conversent, et mêlent leur voix, entre poésies et chansons. Avec les mots des poètes, Bukowski, Germaine Kouméalo Anate, Paul Eluard, etc, mais aussi avec leurs mots, elles nous emmènent dans un voyage à travers le monde, et à la rencontre d’elles-mêmes.

Distribution

Irène Jacob et Keren Ann

Équipe artistique

Les avis sur le spectacle

La presse en parle

MIDI LIBRE

» Les mots et la musique emportent. Libèrent. Même et surtout, si ce qui est dit est dur et fort. Le voyage mental devient physique. L’espace de la scène reste une bulle, mais Keren Ann et Irène Jacob entraînent le public dans un ailleurs sans limites. Les âmes s’ouvrent. Et c’est enfin la liberté de ces deux magnifiques artistes qui emplit tout l’espace. Et c’est beau. «

LA PROVENCE

» Prenez deux amies, versez une once de poésie, à laquelle vous ajoutez une pointe de musique, de danse, de théâtre, assaisonnez avec un peu de spontanéité et beaucoup de souvenirs personnels. Mixez le tout et obtenez ce résultat : un road trip chanté et parlé à travers le voyage de la vie. « Où es-tu? »… Ce dialogue poétique sonne comme un échange, un besoin irrépréhensible de voyage, d’évasion… «

TÉLÉRAMA

» Dès les premières notes, des frissons parcourent notre peau… Les chansons de Keren Ann – dont Not Going Anywhere – servent merveilleusement les nombreux poètes (Andrée Chedid, Leonard Cohen, Robert Desnos, Emily Dickinson…) auxquels les deux artistes rendent un hommage sobre et sensible. «

Théâtre de l'Atelier

Théâtre de l'Atelier
Théâtre de l'Atelier
Théâtre de l'Atelier
Parce qu’il connaissait le lieu mystérieux où étaient inhumés Louis XVI et Marie Antoinette, le comédien Pierre Jacques Seveste permit à Louis XVIII de réaliser son vœu de rassembler dans un monument funéraire les illustres ossements. En récompense il reçut par décret royal du 10 juin 1817 le privilège pour lui et ses fils, toute leur vie durant, de « régner » sur la vie culturelle de la banlieue du Paris d’alors. Seveste lance la construction de nombreux théâtres, parmi lesquels le Montmartre est le premier à voir le jour. Ce n’était encore qu’une petite salle au coeur du village d’Orsel, à flanc du Mont des Martyrs et dont l’inauguration eut lieu le 23 novembre 1822. La troupe qui s’y produit est essentiellement composée des élèves de Seveste, qu’il exploite allégrement et logiquement qu’il répugne à payer. Le «Théâtre d’élèves» comme on a coutume de l’appeler alors, est entièrement fait en bois, ce qui lui vaut d’être affublé également du surnom de « Galère Seveste ». Avec la Révolution de 1848, le Montmartre est rebaptisé Théâtre du Peuple. Mais le peuple n’est pas au rendez-vous, et la dégringolade des recettes contraint les fils Seveste de céder le Théâtre un an plus tard à deux comédiens, Libert et Gaspari, qui en assurent la direction couplée à celle du Théâtre des Batignolles. En 1852, Gaspari part présider aux destinées du Beaumarchais, et laisse Libert seul aux manettes. Lui succède l’année suivante Alexandre-Hippolyte Chotel, comédien lui aussi. En 1860, la commune de Montmartre, dans laquelle s’était fondu le village d’Orsel, est annexée à Paris. Le Montmartre devient un « théâtre de quartier », dont l’essentiel du répertoire se contente de la reprise des drames et des vaudevilles créés auparavant avec succès dans les grands théâtres des Boulevards. En revanche il devient un vivier pour beaucoup de jeunes comédiens devenus célèbres par la suite.

1 Place Charles Dullin
75018 Paris