Affiche de Thaïs "Que la fête continue ! Pour un dernier Hymne à la joie..."

Thaïs "Que la fête continue ! Pour un dernier Hymne à la joie..."

Theatre du Gymnase Marie Bell

  • Paris, 75010
  • Le 09/12/2024
  • Durée : 1h30
  • Tout public
  • À partir de 0 €
Ce spectacle n'est plus à l'affiche actuellement
Après une tournée dans toute la France et un triomphe à la Cigale, Thaïs joue en direct à la TV au Théâtre du Gymnase à Paris

Découvrir le spectacle

Son Spectacle : Que la fête continue ! A cette occasion, elle offre au public parisien, une représentation inédite. Elle vous invite à redécouvrir : les matins gueule de bois, les joies de la pilule du lendemain, l'oral du bac de français légèrement approximatif, sa passion pour l'émission "Confession Intime", son dégoût du mariage et beaucoup d'autres surprises... Alors venez, toi plus toi et plus eux et évidemment tous ceux qui sont seuls, vous avez de la chance, elle est pas regardante ! Une soirée à ne manquer sous aucun prétexte !

Équipe artistique

Theatre du Gymnase Marie Bell

Theatre du Gymnase Marie Bell
Theatre du Gymnase Marie Bell
Theatre du Gymnase Marie Bell
Situé à l'emplacement des jardins de l'hôtel du baron Louis, et sur une partie du cimetière de la paroisse de Bonne-Nouvelle (fermé avant la Révolution), le théâtre est inauguré le 23 décembre 1820 par Delestre-Poirson. Le Gymnase-Dramatique devait servir de lieu d’entraînement aux élèves du conservatoire, en n’y représentant d'abord que des pièces en un acte ou réduites à un seul acte. Poirson fit rapidement jouer des pièces de deux actes, puis de trois, et fit un contrat exclusif à Eugène Scribe. Il fit installer l’éclairage au gaz dès 1823 et, par les bonnes grâces de la duchesse de Berry, le lieu s’enorgueillit en 1824 du titre de théâtre de Madame. Jeton à l'effigie du théâtre du Gymnase. Fermé en juin 1830 pour rénovation, le théâtre reprit, après la révolution de Juillet, le nom de Gymnase-Dramatique. En 1844, Montigny prend la direction du théâtre, et pour attirer un public plus nombreux, abandonne peu à peu le répertoire de pièces morales et édifiantes pour favoriser le genre sentimental, plus en vogue, avec « situations compromettantes, turpitudes froides, effronteries calculées, sanglots et agonies ». Les dramaturges s’appellent Balzac, Émile Augier, George Sand, Edmond About, Victorien Sardou, Octave Feuillet, Meilhac et Halévy, Alexandre Dumas père et fils.

38 Boulevard de Bonne Nouvelle
75010 Paris