- Paris, 75011
- Du 04/04/2025 au 29/06/2025
- 15h00 et 19h00
Durée : 1h30 - À partir de 12 ans
- À partir de 12,90 €
Le mot de BAM
PROFITEZ DE NOTRE OFFRE EXCLUSIVE : 12,90 euros sur les représentations (dans la limite des places disponibles).
Découvrir le spectacle
Viktor, jeune ukrainien de 20 ans, se trouve à Moscou le 24 février 2022 lors de l’invasion russe en Ukraine. Il y vit depuis 3 ans, réalisant son rêve d’enfance : intégrer la plus prestigieuse école de théâtre russe, le GITIS. Il fait alors face aux bouleversements provoqués par la guerre : l’amour devient la haine, les amis d’hier deviennent les ennemis d’aujourd’hui. Le rêve d’enfance devient une trahison à son peuple. Maintenant je n’écris plus qu’en français est une histoire ukrainienne. Elle nous plonge dans un conflit qui traverse des siècles de destins mêlés entre deux peuples et met en lumière le rapport qu’ils entretiennent aujourd’hui. Le récit intime et les circonstances politiques et historiques s’entrechoquent : la famille et la patrie, la jeunesse et la mort, la haine et l’amour, la trahison et la culpabilité … Le spectacle pose une question essentielle : pourquoi combat-on ?
Distribution
Équipe artistique
Auteur(s)
Viktor KyrylovMetteur(s) en scène
Viktor KyrylovCollaboration artistique
Éric Ruf et Laurent MuhleisenSon
Thomas CanyCostumes
Constant Chiassai-polinLumière
Anne CoudretVideo
Clara Hubert
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Les avis sur le spectacle
les Spectateurs BAM en parlent
Bien beau spectacle, criant de vérité, de déchirement magnifiquement interprété par ce garçon précipité par la guerre entre deux mondes, comme entre deux amours.
La presse en parle
TéléramaUn seul-en-scène à la fois touchant et pétillant sur l'exil, la culpabilité et le désir de théâtre. (...) On est subjugué (...) par sa capacité à résister à l'horreur pour accomplir et embrasser son désir de théâtre. Aujourd'hui sur scène, Viktor Kyrylov déploie son jeu intense, a les yeux qui pétillent. Le théâtre est en lui.
Le Canard EnchaînéIl évoque la douleur de se détacher d’une langue et d’une littérature russes qu’il aimait tant, et la culpabilité de ne pas être retourné en Ukraine pour combattre. C’est l’exil vu à travers les yeux d’un jeune qui rêvait de Tchekov plus que de kalachnikovs.
L'autre scèneMaintenant je n’écris plus qu’en français est une chronique russo-ukrainien. […] Le spectacle met en lumière les conflits identitaires, les contradictions intérieures et les fractures de l’exil. Il est aussi une tragédie universelle. Il questionne avec force. Le théâtre devient un espace de vérité. Qu’aurions-nous fait si, alors que nous nous précipitions pour défendre notre pays, notre mère comme celle de Viktor nous avez supplié de ne pas rejoindre le front ?
Lever de rideauViktor oppose la puissance de l’art. Ce jeune homme, qui rêvait de planches et non de champs de bataille, nous rappelle que le théâtre peut être un acte de survie, un cri contre l’oubli et la violence. [Le spectacle] touche sincèrement laissant la salle bouleversée et les yeux embués.
TatouvuC'est l'histoire d'un garçon qui est forcé au courage : le courage de partir, de mourir et le courage de vivre, pour finir. La force de cette pièce réside dans les questionnements existentiels qu'elle soulève ; Viktor Kyrylov expose les ombres qui l'ont traversées, ses guerres intérieures, et se met à nu avec une vulnérabilité déstabilisante.
Sceneweb"Le théâtre, c’est ce qui me sauve" - Interview de Viktor Kyrylov par Stéphane Capron pour Sceneweb - https://sceneweb.fr/viktor-kyrylov-le-theatre-cest-ce-qui-me-sauve/
Théâtre de Belleville
94 Rue du Faubourg du Temple
75011 Paris