L'opéra c'est (pas) pour moi - Paris

Theatre du Gymnase Marie Bell

  • Paris, 75010
  • Du 20/09/2025 au 11/04/2026
  • 14h30
    Durée : 1h30
  • À partir de 5 ans
  • À partir de 16,20 €
Il s'agit d'un spectacle/conférence chantée et participative autour de l'opéra tout public.

Découvrir le spectacle

Daphné Hacquard (comédienne et chanteuse) et Aurélie de Solère (pianiste et chanteuse ) vous expliquent tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'opéra sans jamais oser le demander... En une heure chrono !

D'où vient-il ? Quels thèmes explore-t-il ? Comment a-t-il évolué au fil du temps ? Quelles sont les différentes tessitures vocales et le fonctionnement de la voix ? Vous découvrirez tout cela à travers un récital-conférence à la fois ludique et instructif.

De la Renaissance à nos jours, elles interpréteront des airs emblématiques de chaque époque, tout en vous impliquant activement. Pour conclure en beauté, un atelier vocal vous permettra de donner de la voix en chantant les choeurs du célèbre opéra Carmen.

Distribution

Daphné Hacquard et Aurélie De Solère

Équipe artistique

Réserver mes billets

Chargement du calendrier...

Theatre du Gymnase Marie Bell

Theatre du Gymnase Marie Bell
Theatre du Gymnase Marie Bell
Theatre du Gymnase Marie Bell
Situé à l'emplacement des jardins de l'hôtel du baron Louis, et sur une partie du cimetière de la paroisse de Bonne-Nouvelle (fermé avant la Révolution), le théâtre est inauguré le 23 décembre 1820 par Delestre-Poirson. Le Gymnase-Dramatique devait servir de lieu d’entraînement aux élèves du conservatoire, en n’y représentant d'abord que des pièces en un acte ou réduites à un seul acte. Poirson fit rapidement jouer des pièces de deux actes, puis de trois, et fit un contrat exclusif à Eugène Scribe. Il fit installer l’éclairage au gaz dès 1823 et, par les bonnes grâces de la duchesse de Berry, le lieu s’enorgueillit en 1824 du titre de théâtre de Madame. Jeton à l'effigie du théâtre du Gymnase. Fermé en juin 1830 pour rénovation, le théâtre reprit, après la révolution de Juillet, le nom de Gymnase-Dramatique. En 1844, Montigny prend la direction du théâtre, et pour attirer un public plus nombreux, abandonne peu à peu le répertoire de pièces morales et édifiantes pour favoriser le genre sentimental, plus en vogue, avec « situations compromettantes, turpitudes froides, effronteries calculées, sanglots et agonies ». Les dramaturges s’appellent Balzac, Émile Augier, George Sand, Edmond About, Victorien Sardou, Octave Feuillet, Meilhac et Halévy, Alexandre Dumas père et fils.

38 Boulevard de Bonne Nouvelle
75010 Paris